Un extrait de
"UN ÉTÉ CRIMINEL"
disponible sur Amazon.fr en téléchargement pour tablettes et liseuses
Et depuis aujourd'hui, pour les irréductibles du papier, en livre broché!
Un thriller sur fond de Caraïbes, d'amour, de drames familiaux....
"Elle arrête la voiture devant un grand portail de fer forgé noir flanqué de deux piliers où aboutit un grand mur de pierres qui entoure le jardin, « Plus parc que jardin de curé », se dit-elle.
"UN ÉTÉ CRIMINEL"
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Un thriller sur fond de Caraïbes, d'amour, de drames familiaux....
"Elle arrête la voiture devant un grand portail de fer forgé noir flanqué de deux piliers où aboutit un grand mur de pierres qui entoure le jardin, « Plus parc que jardin de curé », se dit-elle.
Elle ouvre la portière et s’avance vers
le portail à la recherche d’une sonnette. Un
système de vidéo semble avoir été
récemment installé. Elle appuie sur le bouton
et attend la réponse. Une voix grave lui
répond :
-Vous êtes Gabrielle Tessière ? Félicitations ! Vous êtes à l’heure. Je vous ouvre.
Elle vient à peine de regagner sa voiture que les deux panneaux de fer forgé s’écartent lentement, sans bruit. Elle attendque l’espace ouvert soit suffisant pour le passage de la voiture et s’engage dans l’allée de terre bordée de grands arbres qui conduit vers la demeure. Vraisemblablement, une grande maison bourgeoise de la fin du XIXe siècle. De grandes portes vitrées ouvrent sur le jardin. Deux étages surmontent le rez-de- chaussée, troués de fenêtres à la française. Tout en conservant son cachet d’origine, la maison a été vraisemblablement restaurée récemment. Le parc est bien entretenu. Des balançoires, un toboggan et des jeux d’enfants ont été installés. On voit un peu plus loin une piscine, des chaises longues et deux parasols.
-Vous êtes Gabrielle Tessière ? Félicitations ! Vous êtes à l’heure. Je vous ouvre.
Elle vient à peine de regagner sa voiture que les deux panneaux de fer forgé s’écartent lentement, sans bruit. Elle attendque l’espace ouvert soit suffisant pour le passage de la voiture et s’engage dans l’allée de terre bordée de grands arbres qui conduit vers la demeure. Vraisemblablement, une grande maison bourgeoise de la fin du XIXe siècle. De grandes portes vitrées ouvrent sur le jardin. Deux étages surmontent le rez-de- chaussée, troués de fenêtres à la française. Tout en conservant son cachet d’origine, la maison a été vraisemblablement restaurée récemment. Le parc est bien entretenu. Des balançoires, un toboggan et des jeux d’enfants ont été installés. On voit un peu plus loin une piscine, des chaises longues et deux parasols.
La porte d’entrée est ouverte. Elle
descend de son véhicule, suivie par Ploume
visiblement très intéressée par l’immense
pelouse qui se déroule devant elle, au point
d’oublier que Gabrielle l’a prudemment
attachée et tire sur sa laisse. La venue de
Ploume a été la condition sine qua non de
son contrat. Chris de La Bruyère lui a
répondu qu’ils avaient eux-mêmes un petitchien qui les accompagnait. Elle ne doutait
pas qu’ils s’entendraient bien. Elle lui avait
précisé qu’il s’agissait d’un petit caniche
noir. En effet, une boule noire jaillit de la
maison en jappant. Il s’arrête face à Ploume
et se met à tourner autour de la petite
épagneule. Le premier contact semble bon,
puisque au bout de quelques minutes, les
deux chiens sont en pleine partie de jeu sur la
pelouse, après que Gabrielle, rassurée, a
détaché sa chienne.
-Voilà deux vrais copains !
Gabrielle détourne les yeux des deux animaux et regarde vers la grande porte où se tient un homme d’une soixantaine d’années à la voix et au sourire accueillants. Assez grand, il a le teint bronzé des gens qui vivent au soleil ainsi que l’assurance de ceux que la vie a suffisamment pourvus pour qu’ils oublient la notion de doute. Il s’avance vers elle, découvrant un sourire carnassier mais sympathique, qu’adoucissent ses cheveux poivre et sel coupés courts et d’insondables yeux gris vert."
.......
Gabrielle détourne les yeux des deux animaux et regarde vers la grande porte où se tient un homme d’une soixantaine d’années à la voix et au sourire accueillants. Assez grand, il a le teint bronzé des gens qui vivent au soleil ainsi que l’assurance de ceux que la vie a suffisamment pourvus pour qu’ils oublient la notion de doute. Il s’avance vers elle, découvrant un sourire carnassier mais sympathique, qu’adoucissent ses cheveux poivre et sel coupés courts et d’insondables yeux gris vert."
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