En cette fin d'année 2016 et à la veille de 2017, je vous souhaite de passer des moments aimants, affectueux et sereins.
Ces périodes de fêtes ne sont pas aimées par tous: ces moments festifs nous renvoient à des images anciennes, perdues, certainement redorées par les années, qui engendrent nostalgie, regrets, tristesse.
Notre enfance revient à la surface, joyeuse ou difficile, peu importe, mais avec des souvenirs dont les bouffées nous brouillent la vue.
On est nombreux à regretter les grandes tablées, les repas familiaux, les attentes sous le sapin, les joies de la découverte des cadeaux...en fait à regretter le passé!
Nos enfants, petits-enfants feront certainement de même dans quelques années...avec une pensée pour nous, comme nous en avons pour nos parents ou grands-parents disparus, dont on entend encore la voix, le rire, dont on voit toujours le sourire, dont on écoute le murmure des mots tendres.
Ainsi va la vie. Il y a toujours ce regret de l'Eden disparu, des temps jadis meilleurs...croit-on.
Le monde actuel est-il pire ou tout simplement différent?
On ne peut nier le progrès, même si on se sent parfois dépassé par ce même progrès.
L'amélioration de la vie quotidienne est évidente, on est mieux nourri, mieux soigné, mieux instruit. Tout n'est pas merveilleux, mais on ne peut pas comparer le confort et le niveau de notre vie actuelle, quelques soient les différences existant, avec la vie ne serait-ce que de nos grands-parents.
Cependant, la course au bonheur n'a jamais été aussi envahissante. Mais quel bonheur recherche-t-on? Nos ancêtres se posaient-ils la question de savoir s'ils étaient heureux?
Certes la recherche du bonheur est universelle et intemporelle. Mais quelle définition lui donner?
Doit-on faire comme au Bouthan, ce petit pays asiatique où le PNB a été remplacé par une évaluation du bonheur, le BNB, le Bonheur National Brut?
Notre course au bonheur est souvent une recherche d'amélioration matérielle.
Malraux avait dit: "Le XXIème siècle sera spirituel ou ne sera pas."
Le monde actuel manque de cette spiritualité nécessaire à la pensée et au sens de la vie de l'homme. C'est une brèche dans laquelle s'engouffrent toutes sortes de fanatismes.
L'échec des idéologies politiques du XXème siècle et du début de ce siècle laisse un vide que s'empressent de combler des courants religieux rétrogrades, violents, pratiquant des techniques de lavage de cerveau. Ces mouvements dits intégristes sont surtout le fait des grands monothéismes et renvoient une image bien loin du Dieu d'amour qu'ils sont censés représenter.
Les médias leur donnent un affichage tel qu'ils le souhaitent qui, ajouté à la recherche permanente du scoop journalistique, présente du monde une image de "violence normalisée et banalisée".
Je sais qu'on ne vit pas dans un "monde de bisounours"! Mais ne pourrait-on pas, parfois, oublier les faits divers morbides, les querelles stériles de stars, les brutalités humaines, les meurtres, les mauvais traitements, dont les diffusions en boucle et répétitives réveillent chez certains de bas instincts et de sombres envies?
Paix et sérénité seraient les bienvenues.
C'est ce que je souhaite au monde et ce sont les voeux que je vous adresse.
Ces périodes de fêtes ne sont pas aimées par tous: ces moments festifs nous renvoient à des images anciennes, perdues, certainement redorées par les années, qui engendrent nostalgie, regrets, tristesse.
Notre enfance revient à la surface, joyeuse ou difficile, peu importe, mais avec des souvenirs dont les bouffées nous brouillent la vue.
On est nombreux à regretter les grandes tablées, les repas familiaux, les attentes sous le sapin, les joies de la découverte des cadeaux...en fait à regretter le passé!
Nos enfants, petits-enfants feront certainement de même dans quelques années...avec une pensée pour nous, comme nous en avons pour nos parents ou grands-parents disparus, dont on entend encore la voix, le rire, dont on voit toujours le sourire, dont on écoute le murmure des mots tendres.
Ainsi va la vie. Il y a toujours ce regret de l'Eden disparu, des temps jadis meilleurs...croit-on.
Le monde actuel est-il pire ou tout simplement différent?
On ne peut nier le progrès, même si on se sent parfois dépassé par ce même progrès.
L'amélioration de la vie quotidienne est évidente, on est mieux nourri, mieux soigné, mieux instruit. Tout n'est pas merveilleux, mais on ne peut pas comparer le confort et le niveau de notre vie actuelle, quelques soient les différences existant, avec la vie ne serait-ce que de nos grands-parents.
Cependant, la course au bonheur n'a jamais été aussi envahissante. Mais quel bonheur recherche-t-on? Nos ancêtres se posaient-ils la question de savoir s'ils étaient heureux?
Certes la recherche du bonheur est universelle et intemporelle. Mais quelle définition lui donner?
Doit-on faire comme au Bouthan, ce petit pays asiatique où le PNB a été remplacé par une évaluation du bonheur, le BNB, le Bonheur National Brut?
Notre course au bonheur est souvent une recherche d'amélioration matérielle.
Malraux avait dit: "Le XXIème siècle sera spirituel ou ne sera pas."
Le monde actuel manque de cette spiritualité nécessaire à la pensée et au sens de la vie de l'homme. C'est une brèche dans laquelle s'engouffrent toutes sortes de fanatismes.
L'échec des idéologies politiques du XXème siècle et du début de ce siècle laisse un vide que s'empressent de combler des courants religieux rétrogrades, violents, pratiquant des techniques de lavage de cerveau. Ces mouvements dits intégristes sont surtout le fait des grands monothéismes et renvoient une image bien loin du Dieu d'amour qu'ils sont censés représenter.
Les médias leur donnent un affichage tel qu'ils le souhaitent qui, ajouté à la recherche permanente du scoop journalistique, présente du monde une image de "violence normalisée et banalisée".
Je sais qu'on ne vit pas dans un "monde de bisounours"! Mais ne pourrait-on pas, parfois, oublier les faits divers morbides, les querelles stériles de stars, les brutalités humaines, les meurtres, les mauvais traitements, dont les diffusions en boucle et répétitives réveillent chez certains de bas instincts et de sombres envies?
Paix et sérénité seraient les bienvenues.
C'est ce que je souhaite au monde et ce sont les voeux que je vous adresse.
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